mercredi 19 septembre 2012

Sucer or not Sucer: Mais quelle question!



A 29 ans, je pouvais compter sur les doigts d’une main le nombre de fois où j’avais fait une gâterie à mes copains. Je ne suis pas du genre coincée mais on peut dire qu’il y avait en moi une espèce de tabou, gêne, voir dégout face à cette pratique, que je ne saurais expliquer.

J’ai tranquillement fait ma vie sexuelle tout en évitant cette pratique sans que cela ne fasse (trop) fuir mes prétendants, mais cela devait changer. Toujours est-il qu’un jour j’ai eu comme une révélation. 

Je venais de rencontrer quelqu’un qui me plaisait beaucoup et j’avais décidé qu’il serait mon cobaye pour revenir dans le « blow job game ».  Pourquoi lui ? Il ne m’avait pourtant rien demandé mais j’ai vu en lui la cible idéale car….il avait un petit kiki !!! Je pouvais donc me faire la main (ou la bouche, au choix) pépèrement sans éprouver trop de difficulté technique. 

Quelque temps avant le jour J, je demande quelques conseils à 3 amies avisées via un message privé sur Facebook. Je me doutais qu’elles se ficheraient de moi et ça n’a pas loupé. Les 3 ont répondu chacune leur tour par des : mdr,ptdr, lol, ahahahah. WECH LES MEUFS, on ne se moque pas ! 

Moi, bidonnée derrière mon écran, j’ai dû leur rappeler que j’étais sérieuse donc j’attendais leurs conseils avec impatience, ce qu’elles firent dans la joie et la bonne humeur.

A priori, je m’en suis bien sortie et je remercie mes amies car mine de rien, j’avais perdu confiance en mes capacités buccales. De tabou, c’est devenu un atout, reste juste à trouver un nouveau compagnon de jeu.

Ps :« De nos jours une meuf qui suce pas, c’est une meuf inutile ». Merci Françoise pour cette punchline qui m’a beaucoup fait rire. Peut-être aurais-je moins ri y’a 2 ans si tu me l’avais sorti ;)

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