On a toute, un jour ou l’autre, dû faire face à des décisions qui nous semblaient impossible à prendre.
On se retrouve alors seule, abandonnée par la raison, à nous faire des monologues intérieurs qui ont souvent pour but de nous convaincre que le mauvais choix, est un bon choix.
Je suis très (trop) cartésienne, mais en général, à tord ou à raison mes choix je les assume, car je m’octroie le droit d’en faire des mauvais de temps en temps afin de me fondre dans la masse du commun des mortels.
Oui, ça me vaut parfois des crises de questions existentielles, ou de longs doutes sur ma capacité à faire preuve de discernement. Mais j'ai appris que même les mauvais choix, et/ou les mauvaises expériences sont formateurs.
Ces choix peuvent être d’une importance plus ou moins grave
- La plus importante fut de quitter, mon précédent cher-et-tendre.
- La plus matérialiste fut de craquer pour ces magnifiques Jordan
- La plus difficile fut re-confier ma confiance après une trahison
Après de long mois d’hésitation, de réflexions, de remise en question…a aucun moment vient le fameux « déclic » que l’on nous conte fictivement…Non, c’est juste qu’un jour, a force de tourner et retourner une décision inévitable, elle fini par tomber !
Et quel soulagement de se sentir enfin libérée de cet ultimatum.
Soulagement à court terme, qui dure jusqu’à la prochaine « confrontation » …
Eh oui vu que la vie est une succession de choix et de prise de décision qui font de nous, ce que nous sommes aujourd’hui, c’est pas prêt de s’arrêter.
Puis finalement on vit quand même dans une époque, et dans un pays ou l’on peut avoir le choix, et ça c’est pas plus mal !(Surtout que malheureusement ce n'est pas le cas de tout le monde).
Donc je prends le risque de parfois avoir tort, mais le choix est un luxe dont je ne compte pas me priver.
Precious
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