En ce lundi, voici un post approprié, qui illustre bien souvent mon état d'esprit de début de semaine.
Alors, vous savez, cette courtoisie, qui vous pousse à faire le tour des bureaux toutes guillerettes, afin de respecter la tradition des accolades matinales, et des viriles poignées de main.
Eh ben sachez que je ne suis pas comme VOUS !
Je ne suis pas courtoise !
Je n’apprécie ni vos accolades, ni vos VIOLENTES poignées de main matinales !
Alors, vous savez, cette courtoisie, qui vous pousse à faire le tour des bureaux toutes guillerettes, afin de respecter la tradition des accolades matinales, et des viriles poignées de main.
Eh ben sachez que je ne suis pas comme VOUS !
Je ne suis pas courtoise !
Je n’apprécie ni vos accolades, ni vos VIOLENTES poignées de main matinales !
Le matin, c’est MON moment.
Appelez ça comme vous voulez, de la sauvagerie, un manque de civisme, ou de politesse … mais cela ne me dérange absolument pas de courir m’isoler quelques précieuse minutes (- heures -, les matins les plus difficiles) dans mon bureau.
Cela ne m’empêche pas d’avoir pourtant quelques affinités avec certain(e)s de mes collègues, qui ont la chance de rentrer dans la catégorie des exceptions, et avec qui j'aime échanger.
Mais pour les autres, je vous saurai gré de:
1/ ne plus m’interpeller pour que je me joigne à vos pauses cafés (surtout que j’en bois pas !),
2/ne plus m’assener de question dès l’aube (oui parfois l’aube persiste jusqu'à 10h, chez moi !)
3/ ne pas me raconter vos vies absolument trépidantes (selon vous), sans mon consentement (et ce, peut importe l’heure)
Dans l’espoir, de vous recroiser (au loin et en silence), je vous prie d’agréer mes salutations distinguées.
Cordialement
Precious qui vous apprécie avec parcimonie.
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