Ces moments où je pourrais rester des heures et des jours sans contacts extérieurs, sans téléphone, sans internet, sans mettre ne serais-ce qu’un pied dehors …
Ces jours, ou la positive attitude ne m’habite plus, et où il ne reste que sombre désespoir et tristes pensées.
Ces matins, ou la vie me semble plus dure et longue qu’hier, mais moins que demain…
Dans ces moments là, même les plus douces (et raisonnables) paroles ne font plus effet, face à cette humeur noire et intense.
Cette solitude, accepte comme unique compagnie les flots de larmes non retenus, afin d’exprimer mes malheurs dans un silence douloureux.
Puis un jour, la dernière larme coule et le positivisme reprend doucement ses droits…jusqu’à la prochaine fois…
Prochaine fois, que j’oublierais que la vie est aussi dure que douce.
Prochaine fois, que l’impatience d’une vie meilleure, me fera perdre foi.
Prochaine fois, que mon option « relativiser » tombera en panne.
Faudrait peut être que je songe à la réparer cette option d’ailleurs.
Une thérapie ?! Hum, mais pourquoi pas après tout ?! Si c’est bon pour le moral je prends !
Precious …qui va bien pour le moment
Et généralement, au mois de novembre, ça ne manque pas. Quand c'est comme ça, je pense à mon Bled et puis je me dis:"bon ok ça me déprime comme ça mais au fond, ça va, j'ai un toit, à manger, chui bien au chaud (pour déprimer c'est mieux :p), j'ai la santé, le PSG vient de ganger... J'en connais qui échangeraient leur vie contre la mienne tout de suite" et après je rigole et tout glisse de nouveau sur moi :D
RépondreSupprimerRejoice Precious, everything's fine
Ton message m'a fait sourire David, c'est un bon début ! ^^
SupprimerMerci pour ce message plein de positivisme. Hormis le classement du PSG qui me passe au dessus de la tête , je suis du même avis que toi. Au fond tout va bien, en tout cas tout pourrait être bien pire. Donc mot d'ordre : Relativiser. Every thing gonna be alright. :)