mercredi 27 mars 2013

Insatisfaction et évolution professionnelle...



Qui n’a jamais été dans ce stade où on se pose ces questions :

  •  « Suis-je heureuse à mon poste ? »
  •  « Vers quoi est ce que je souhaite évoluer ? »
  •  « Est-ce que je me vois continuer dans ce métier ? »

Et j’en passe…On a toutes (tous) été confrontés à ce moment de doute.

Pour ma part je suis dans les RH depuis 5 ans. J’ai auparavant travaillé dans la relation-client pendant 3 ans. Mon poste actuel me plait, c’est plutôt une partie de mon activité qui me déplaît. La structure est jeune et en pleine croissance, j’ai beaucoup de possibilités en termes d’évolution. Mais à 30 ans j’hésite entre 3 choses :


  • Continuer dans les RH
  • Devenir consultante RH en freelance (ou coach enfin un métier RH plus orienté conseil)
  • Ou  monter ma propre structure

 Le souci c’est que je suis toujours pleine de doutes et que je ne suis pas sûre d’être prête à me lancer dans l’aventure « seule ».Or il faut bien se lancer à un moment ou à un autre. Mais si l’on est prêt psychologiquement ça ne sert à rien car on court plutôt vers la catastrophe.

Mes études sont très orientées management de PME donc monter ma propre structure ne me fait pas peur en soi, c’est plutôt quel type de structure monter qui me fait douter. J’ai plusieurs idées et je n’arrive pas à me focaliser sur une et à me décider. Et puis parfois je me dis pourquoi ne pas continuer encore quelques années dans les RH et une fois plus confiante me lancer.

Je suis toujours de bon conseil pour les personnes qui justement sont en pleine remise en question et qui ont besoin d’une sorte de bilan de compétences. J’arrive à les guider, les conseiller et leur apporter mon aide. Mais j’ai du mal à prendre du recul quand il s’agit de mon activité. 

J’ai décidé que 2013 serait l’année de prise de décision par moi-même et non plus pour faire plaisir à mon entourage.  Donc à moi de me poser les bonnes questions et surtout de faire le choix qui saura me rendre plus heureuse professionnellement. 

Carrie,

From Paris With Love, xoxo

lundi 18 mars 2013

Génération pressée?





Sommes-nous une génération pressée ? Je me pose la question car j’ai eu une conversation assez intéressante dernièrement et il est clair que nos parents (la « génération X ») ne comprennent pas notre impatience face à nos choix de la vie quotidienne.
Je crois pouvoir répondre en toute objectivité que nous nous adaptons à notre environnement tout simplement. On ne cesse de se répéter que le temps file, qu’ hier on avait 20 ans et qu’aujourd’hui on se réveille à 30. Certains jours, je n’ai même pas l’impression qu’il y a 24h dans une journée tant je fais de choses. World is going too fast !
Prenons un exemple tout bête, en tant que working girl je veux pouvoir, et c’est normal, profiter de mon week-end. Eh bien ce n’est pas toujours le cas. Je ne peux pas concentrer tout ce que j’ai à faire un samedi car je n’ai tout simplement pas le temps. Si je veux traîner un peu au lit, je ne peux pas prévoir un IKEA, un ciné, un restau, un coiffeur ou une virée shopping dans la même journée ! Il faut faire des choix… Ou alors ouvrir une brèche dans l’espace-temps.
Et c’est pareil pour les relations, le travail, les décisions importantes. Quand par exemple tu as galéré des années sentimentalement avant de rencontrer la bonne personne, forcément tu as des attentes différentes de ce qu’elles étaient avant. Je m’explique : en discutant avec ma mère souvent ressort cette phrase : « Mais pourquoi te précipiter pour faire ci ou ça, tu es jeune, t’as le temps… » Eh bien non, construire une relation de nos jours c’est difficile, beaucoup plus qu’à l’époque de nos parents, c’est beaucoup de compromis, de sacrifices, de pleurs, de déceptions et j’en arrive à un point ou si ça foire je n’ai pas envie d’abandonner sans avoir TOUT tenté… Pour devoir tout recommencer !
On prend les choses comme elles viennent, sans regrets… Voilà ce que je me dis. Pareil professionnellement, tout le monde me répète de rester dans mon entreprise actuel «Tu te rends pas compte de la chance que t’as, t’as un CDI dans une grosse boîte et c’est la crise, pourquoi tu veux partir ? » (voir mon article du 7 janvier: l'importance de faire des choix professionnels)
Oui j’ai de la chance, mais après ? Au bout d’un moment il faut savoir penser à soi. Je compatis sincèrement avec ceux qui galèrent dans leurs recherches de taf et les soutient. Mais je ne conçois pas la fameuse « loi » qui dit qu’il faut travailler uniquement pour payer le loyer, les factures et autres. L’épanouissement c’est important !
Nous faisons partie de ce qu’on appelle «  la génération Y », nés en 1980 et 1995. Nous avons grandi avec  l’ère de l’information : Internet, la téléphonie mobile, les jeux vidéo, etc… Nous sommes connectés en permanence, plutôt individualistes, à la recherche d’un équilibre vie privé/vie professionnelle, IMPATIENTS, et avec un rapport différent à l’autorité. On veut tout voir, tout savoir, tout comprendre, tout explorer, dans un temps record et dans tous les domaines... Et je dois dire que je me retrouve parfaitement dans ces critères !
Pour celles et ceux qui s’intéressent un peu à la socio, voici quelques sites et articles sympas à propos de la génération Y :
Et un autre article que j’adore :

« On dit que les nouvelles générations sont difficiles à gouverner. Je l'espère bien » Alain
Françoise

mardi 5 mars 2013

J'ai testé Hérôme



Hello,

Alors voilà, je ne pense pas vous l’avoir déjà dit mais je suis ce qu’on appelle une « nail addict »…
Depuis l’adolescence j’adore prendre soin de mes ongles, les voir joliment manucurés.
Ces derniers temps, mes ongles se dédoublaient fortement…j’étais donc obligée de les couper régulièrement et ça m’agaçait fortement. Je n’aime pas avoir les ongles courts, je n’aime pas les voir dédoublés et les sentir fragiles.

Une amie m’a dit un jour « essaie la gamme de durcisseur Hérôme, tu verras c’est top pour le soin des ongles dédoublés »…Ni une ni deux, je fonce chez Sephora ou je trouve tout une gamme de produit Hérôme dont le fameux durcisseur.

Il faut savoir qu’il y a 3 produits :

  • La boite Blanche : le durcisseur doux
  • La boite Bleu : le durcisseur fort
  • Et la boite Rouge : le durcisseur Extra fort

Ce produit contient du formol, je me suis donc dit que l’extra-fort serait peut-être un peu trop dur avec mes ongles sensibles et que le doux serait trop doux…j’ai donc pris le durcisseur fort.

Le programme est simple : on applique un soin pour les cuticules (je vous parlerais une autre fois des soins que j’utilise pour soigner mes cuticules) et ensuite une couche de durcisseur Hérôme. Le lendemain on applique une seconde couche. Le troisième jour on enlève le tout avec un dissolvant doux et on recommence l’application. Le traitement doit durer 15 jours maximum. 

Je dois dire qu’au bout de 3 jours j’étais déjà ravie du résultat. Quasi aucun dédoublement, mes ongles étaient visiblement plus forts.
Au bout de 15 jours de traitement je suis heureuse…mes ongles sont magnifiques et je peux recommencer à les manucurer. Plus de dédoublement, ils sont beaux et ont poussé comme jamais !
Je ne suis pas du genre à « vendre » des produits mais vu que la rubrique s’appelle « j’ai testé » j’étais obligée de vous faire part de cette trouvaille.

Je pense refaire une petite cure dans 1 mois histoire de, mais entre-temps  je vais reprendre les produits Mavala qui sont également top pour le soin des ongles.
A toutes celles qui ont des soucis de dédoublement je dirais juste : foncez l’acheter !

Carrie,

From Paris With Love, xoxo

vendredi 1 mars 2013

Miss Catastrophe International






De nos jours, il existe énormément de concours de Miss. Miss France, Monde, Univers, rondes, petites, mini-miss : que de concours basés sur le physique de ses participantes. Mais moi, FP, je réinvente le concept en lançant Miss Catastrophe International (comprenez: on s’en fout du physique seules les maladresses comptent)

Car il faut dire que je suis sacrément forte dans ce domaine. Mais avant de vous énumérer la liste (non exhaustive) de mes plus belles bourdes, faisons un petit peu d’histoire.

Je suis née avec ce gène. Et surtout je suis gauchère. Bon je vous vois venir, tous les gauchers ne sont pas gauches. Pour ma part, j’ai mis des années à savoir éplucher les légumes avec un couteau. Je fais  les nattes à l’envers, mes manœuvres en voiture à l’envers, etc…

Je comprends maintenant pourquoi les parents avant voulaient absolument que leurs enfants soient droitiers. Je me console en me disant souvent que selon des études très sérieuses, les gauchers sont plus intelligents. Ah oui et que si un jour ça me saoule vraiment trop, je pourrais toujours devenir droitière (je suis ambidextre).

J’ai également un gros problème de gravité. Ma démarche n’est pas droite et je peux tomber facilement. Les objets en général tombent aussi facilement de mes mains. Ne riez pas, c’est un réel handicap.

Sur mes carnets de notes, on retrouvait souvent la mention « Françoise est une bonne élève mais est étourdie ! ». C’est vrai. Je perds mes affaires tout le temps, je ne retrouve jamais ma voiture garée, je ne sais pas ranger un truc à la même place. Sans compter les petits trucs du quotidien comme filer mes collants, faire une tâche de sauce en mangeant, ne pas retrouver mon pass navigo au fond de mon sac en bordel et j’en passe.

Alors parfois c’est marrant et mignon (pour les autres) mais pour moi c’est contraignant.
Renverser le seau de la serpillière, faire tomber un appareil photo dernier cri dans le sable, oublier un téléphone au restau, boucher la machine à laver avec une capsule qu’il fallait mettre directement dans le tambour, perdre son badge du taf tous les 6 mois, c’est pas une vie hein…

Pour ceux qui se demandaient pourquoi le pseudo « Françoise Pignonne » vous avez la réponse. Pierrette Richarde ça aurait été pas mal non plus… lol ;)

Ah au fait si vous vous reconnaissez dans ces quelques lignes, je gère les candidatures pour le concours, envoyez-moi un mail sur l’adresse suivante : f.pignonne@gmail.com

Françoise