lundi 24 décembre 2012

Joyeux Noël et Bonne Année


Les City Girls vous souhaitent d'excellentes fêtes de fin d'année et vous donnent rendez-vous l'année prochaine pour de nouvelles aventures!


vendredi 21 décembre 2012

Ma mère....cette étrangère




Sujet O combien difficile que les relations mères filles…

J’ai toujours envié ces femmes de mon entourage ayant une relation de complicité forte avec leurs mères. Capable de parler de tout, de tout partager.
Avec ma mère c’est aujourd’hui en partie le cas…seulement en partie…

Toute ma jeunesse je l’ai passée avec mon père. Mon père que je considère comme mon héros.
Ma mère, elle, travaillait beaucoup…des horaires difficile car elle travaille dans le médical. De ce fait je ne la voyais quasiment jamais. Elle était un peu comme une étrangère pour moi. Cette femme très rarement souriante, toujours l’air ailleurs, qui s’énervait pour un rien…

Avec le temps je sais qu’elle travaillait beaucoup car les dépenses du foyer lui incombaient en grande partie. Et elle voulait le meilleur pour ses enfants. Mais j’ai mis plus de vingt ans à le comprendre…donc forcément entre temps un « gap » s’est creusé. 

Pas ou peu de câlins de sa part, peu de soutien, peu de mots réconfortant ou d’éloges…je n’étais jamais assez bien pour elle…très difficile à vivre quand à l’adolescence on se cherche et qu’on a besoin du soutien de ses parents, ses 2 parents. Surtout que mon père se rangeait souvent de l’avis de ma mère pour ne pas la froisser. 

Je ne la critique pas, je ne lui en veux pas (enfin plus) mais je suis déçu que notre relation n’ai pas été celle que j’espérais. Surtout que j’ai grandi en l’entendant critiquer sa propre mère qui ne s’était jamais occupée d’elle alors qu’elle reproduisait le même schéma sans s’en rendre compte.

Je sais que l’on a qu’une mère, je sais qu’elle a fait des sacrifices pour ses enfants mais j’ai ce poids dans mon cœur qui fait que j’ai du mal aujourd’hui à être proche d’elle comme je le souhaiterais.
Je lui envoie rarement des messages pour lui dire comment je vais, comment je me porte et je sais qu’elle en souffre. Je m’en veux de lui faire du mal mais il y a comme une barrière qui m’en empêche et qui continue de m’éloigner d’elle…

Je pense que c’est une sorte de rancœur donc il faut que je lui pardonne pour pouvoir avancer de façon saine et enfin arriver à cette relation que j’espère avoir un jour avec elle.

Carrie

From Paris with Love, xoxo

mercredi 19 décembre 2012

J'habite chez mon père




Non, je ne suis pas une tanguette qui retarde l’échéance du départ. A vrai dire, j’ai quitté le cocon familial à mes 19 ans pour y revenir après 11 ans de vie solo,  il y a 6 mois. Oui, oui j’ai choisi de rentrer au bercail (ben ouai, y’a des gens fous !). 

Donc, je suis revenue chez mon père. Si encore c’était juste lui et moi, je crois que ça irait mais là, il y a sa femme, les 3 enfants (que des garçons et ados de surcroit) de sa femme, la copine du fils aîné et le chaton. 

Essayons de voir le bon côté des choses. Je suis nourrie, logée et blanchit. En contrepartie, je dois juste aider aux tâches ménagères et culinaires (euh et les garçons, pourquoi ils ne participent pas?). Jusqu’ici tout va bien. 

Sauf que quand ça va pas justement, tu peux pas faire comme avant et laisser la vaisselle s’accumuler dans l’évier ou trainer en pyjama toute la journée, car ce n’est pas chez moi mais chez mon père. Vous saisissez la nuance ? 

Non pas qu’on me fasse sentir que ce n’est pas chez moi, au contraire, j’ai ma chambre alors que les 2 ados partagent la leur à cause de moi. Mais, je n’ai plus mon confort et mon calme. 

Car moi qui ne supporte pas le bruit, c’est raté ! Entre les vas et viens dans les escaliers, la télé du salon, la télé de la chambre d’à côté parfois je pète un câble. Plus de calme et surtout, plus d’intimité. M’enfin ça…c’est pas comme si j’avais un mec hein. 

En tout cas, même si je trouve relou (mais respectueux) de prévenir quand je ne mange pas à la maison, j’apprécie de rentrer du taf après le dîner et de trouver mon repas dans le micro- onde. 

On a pas toujours ce qu’on veut dans la vie, profitons quand même de ces moments en famille, car la famille y’a que ça de vrai (ainsi que mes City Girls ;) !). 

CalamityMe

mardi 18 décembre 2012

Premier appart' : une belle aventure !


Bon bon bon vu que la fin de l'année est dans deux semaines (et accessoirement la Fin du Monde dans 3 jours), je tenais absolument à faire un petit point avec vous sur le plus gros bouleversement que j'ai vécu cette année, à savoir avoir mon premier appartement!

Cela ne s'est pas fait sans embûches et pourtant aujourd'hui c'est que du bonheur! 

Récit...

Première étape: quitter le nid


Voilà, Voilà, nous sommes au mois d’août 2011, j’ai fait le plus gros du taf, j’ai annoncé à la ma chère maman que je démarrais mes recherches d’appart ! Elle a grimacé, répliqué (mais pourquoi t’économises pas pour acheter, tu veux te précipiter, j’espère que c’est pas pour un mec hein)
Ce moment pas très agréable passé (eh oui c’est toujours un peu chiant d’affronter la Reine Mère, par définition elle a raison vous avez tort, mais vous l’aimez pareil) j’ai entamé mes recherches de logement… Pour le meilleur et pour le pire!

Et là, la guerre commence :
Annonce bidon, agences peu scrupuleuses, loyers indécents, logements à la limite de l’insalubre, demande de dossiers pire que béton (ça existe ?) et tout ça pendant des MOIS (oui oui des mois, 5 dans mon cas pour être exacte) pour dénicher mon petit chez-moi, celui que j’aime tellement.
J’ai franchi les obstacles un à un, du refus de dossier non justifié, aux agents immobiliers où tu vois direct sur leur tête que y a écrit "escroc", aux appartements sales et riquiquis...

Finalement, j’ai trouvé la perle le 7 janvier 2012 ! Bon pas grâce à mes recherches certes mais qui s’en souciera lol (thanks dad)

La vie de célibataire


C’est un bonheur, que dis-je, l’extase de rentrer chez SOI sans avoir à rendre de compte à qui que ce soit. Et peu importe que j’ai shooté tout à l’heure en ouvrant la porte, dans une paire d’escarpins qui traine dans l’entrée depuis une semaine, ou que la vaisselle s’élève comme une montagne dans l’évier. Mon nid est bien là, douillet et meublé comme j’aime.
Bon parfois j’avoue que les petits plats de maman et la vie de château ça manque surtout pour une fée du logis comme moi (ne passez pas à l’improviste, conseil d’amie)
Mais la vie seule offre tellement de possibilités que je l’avoue, je me laisse aller. C’est tellement bon ! On ne me retirera ça pour rien au monde, enfin peut-être pas…

Affaire à suivre…

Sur ces bonnes paroles, je vous dis à l'année prochaine et vous souhaite de passer de bonnes fêtes. On se retrouve en 2013 ;)

Françoise

vendredi 14 décembre 2012

Les femmes préfèrent être chiantes ?


Il y a des jours, où je vous comprends messieurs, il est vrai qu’on est dotées d’une facilité déconcertante pour être « casse-couilles ».

Je travaille dans un environnement de plus en plus féminin, et chaque jour je réalise que les femmes sont difficiles à vivre. Entre leurs caractères, leurs exigences, et leurs sauts d’humeur, il faut bénéficier d’une grande patience pour supporter tous ces petits défauts.

Et je ne vous parle même pas des femmes de ma famille…

Donc ma question est : Pourquoi sommes nous aussi tatillonnes ? Pointilleuses ?

N’avons-nous pas conscience que cette quête de perfection aura notre perte ?

Pourquoi voulons-nous toujours NOTRE perfection ?  Et je dis « notre » car en plus d’être perfectionniste on est têtue, et inapte à comprendre que « notre » perfection n’est peut-être pas universelle, et que dans un monde peuplé par toutes sortes d'individus il nous faut faire avec les perfections et imperfections des autres.
Pourquoi avons-nous tant de mal à nous contenter du « bien » qui parfois est loin d’être aussi désavantageux qu’on ne le laisse croire ? Et surtout le « bien » LUI est réalisable.

La femme est chiante, la femme est vicieuse, la femme est mauvaise … Mais la femme reste avant tout un être ultra-sensible, et c’est sûrement cette sensibilité qui nous rend extrêmes dans le meilleur comme dans le pire.

Via cet article, je joue à la femme parfaite, mais ne soyez pas dupes je suis comme VOUS !
Une femme relou !!

Donc je tiens à faire une dédicace toute particulière, à ces hommes qui arrivent à nous supporter encore plus que l’on ne se supportent nous même. Pour nos meilleures côtés, mais aussi pour les pires.


- Precious -

jeudi 13 décembre 2012

C'est quoi le couple idéal ?





Avant pour moi le couple idéal c’était d'être mariée, avoir entre 2 et 4 enfants, propriétaire d’une belle et grande maison en banlieue parisienne…mais ça c’était avant…

Aujourd’hui j’ai 30 ans, célibataire, un boulot plaisant, une certaine indépendance…je ne me vois plus du tout dans ce style de vie et me rapproche de plus en plus de l’idée du couple que forme Carrie et Mister Big.

Je m’explique, j’ai dans mon entourage une amie trentenaire, mère de 3 enfants, propriétaire d’une belle maison en banlieue parisienne, pas encore mariée par contre. Et je ne l’envie pas du tout loin de là. Sur son compte Facebook je vois partout des photos de ses enfants et surtout du petit dernier, des photos de ces weekends cuisine, de la famille qui vient lui rendre visite. Elle semble heureuse en effet mais pour moi ça ressemble surtout à une façade. J’imagine la vie au quotidien avec 3 enfants de moins de 10 ans. Les factures à régler, le manque d’intimité dans le couple, l’absence de spontanéité, l’organisation nécessaire au quotidien et je me dis de plus en plus ce n’est pas pour moi.

Désormais j’aspire à vivre une relation saine avec mon compagnon, pleine de confiance et de transparence. Pouvoir partager énormément de choses et profiter de la vie au quotidien. Il y a tellement à faire à deux que désormais je me vois plus comblée en vivant à fond une histoire avec un homme plutôt que mère de un ou plusieurs enfants.
Et pourtant mon désir d’être mère était très fort jusqu’à l’année dernière. Mais là, il s’éloigne au fil des mois.

Une de mes cousines m’a toujours dit que je n’étais pas faite pour être en couple ou pour être mère car j’étais trop indépendante et qu’être mère demandait des sacrifices que je n’étais pas prête à faire et que je finirais en mère frustrée.
Je commence à me dire qu’elle avait raison. Une partie de moi culpabilise surtout avec une mère qui me tanne car je suis l’ainée et qu’elle rêve d’être grand-mère.
Mais je pense de plus en plus sérieusement que la vie de famille n’est pas la vie qu’il me faut…et que je veux profiter de mon jules et non pas le partager.

C’est égoïste, soit…mais j’ai passé 20 ans de ma vie à faire plaisir aux autres donc je pense passer les 20 prochaines années à penser à moi et mon petit bonheur.

Et vous, c’est quoi votre conception du couple idéal ?

Carrie,

From Paris With Love, xoxo

mardi 11 décembre 2012

Mes songes et moi



Il parait que tout le monde rêve, par contre tout le monde ne s’en rappelle pas forcément.   
 
Pour ma part, rêver fait parti de mon quotidien nocturne. Chaque matin, vous pouvez être sûre que je vais me rappeler de l’un de mes rêves.  Pas une nuit sans que j’y échappe et à la longue ça fatigue.

Je suis une personne qui extériorise, qui communique, qui a un besoin vital de décharger.  Que ça aille ou que ça n’aille pas d’ailleurs, mon entourage le sait, car je pose des mots sur mes émotions.

Le problème c’est quand ton inconscient décide lui aussi de passer en revue, de « processer »  les évènements forts de ta vie ou tout simplement ceux de ta journée. Ça donne parfois des rêves comiques où tout est mélangé, sans aucune logique. Ceux-là, je ne peux même pas les raconter car y’a pas de cohérence.

Et puis il y a les autres. Ceux aux messages forts. Ceux qui je pense, méritent qu’on leur cherche une signification. Ceux-là, dès le réveil, tu sais que ta journée sera merdique tellement tu es bouleversée. Ces rêves-là sont des cauchemars. 

Je n’ai pas peur de dormir, je n’ai pas peur des ténèbres que l’on associe au sommeil. Pourtant le mien est plutôt difficile, agité. En période de doute, de stress ou de conflit, je suis en proie à des cauchemars. Ça ne dure jamais bien longtemps et c’est plutôt un ou deux cauchemars par période délicate. Mais c’est déjà deux de trop. 

Parfois, les symboles y sont si forts, que j’en cherche la signification. Je rêve souvent de la mort ou que je tue quelqu’un et à priori le message n’est pas négatif, ce qui est rassurant même si le rêve est lui déstabilisant.

Mon dernier cauchemar par contre lui m’a traumatisé. Il m’a plongé dans un état d’anxiété.  Enfin, c’est sa signification qui m’a le plus inquiété car il reflète totalement la situation dans laquelle je suis. 

J’ai pris ça comme un signal d’alarme, d’ailleurs très souvent il est dit d’un cauchemar qu’on y affronte ses peurs. Pour le coup, c’est réussi. 

En tout cas, sans non plus passer mes journées à décortiquer mes rêves, je suis sensible à ceux qui me déroutent et me mettent mal à l’aise et je crois que notre inconscient essaye de nous parler et nous faire réagir, que cela nous plaise ou non. 

 Il ne peut y avoir que du positif  :)

CalamityMe