mercredi 31 octobre 2012

L'infidélité...



Définition de l’adultère : « le fait pour un époux d'avoir des relations sexuelles avec une personne autre que son conjoint ».

Les personnes que je côtoie et qui sont infidèles évoquent souvent ces raisons :
  • Un manque d'attention et de tendresse
  •  Un appétit sexuel non rassasié
  • Une perte de désir dans le couple 

Pour ma part je fais partie de cette minorité qui ne prône pas la fidélité exclusive.

Je m’explique, je « catégorise » 2 sortes d’infidélités :
  • La 1ère est plutôt d’ordre physique. On rencontre une personne qui nous attire sexuellement. On craque et ça s’arrête là. Pas de séduction, pas de mensonge quant à sa situation, pas d’envie de quitter son conjoint. Non, juste du sexe.
  •  La 2ème est plutôt d’ordre moral. A savoir, entrer dans un jeu de séduction, partager des pensées  intimes, se donner corps et âme, entretenir la relation sur du long terme et développer des sentiments pour  une autre personne que son conjoint.

Après cela reste MA vision des choses et je ne demande à personne d’être d’accord avec moi.

Je pourrais accepter et comprendre que mon partenaire aille voir ailleurs de temps en temps pour « assouvir » des besoins purement sexuels. Bien entendu, il faut énormément de recul pour accepter et surtout comprendre la différenciation entre amour et désir physique et surtout idéalement je préfère ne pas le savoir.

Par contre je refuse que mon partenaire puisse se mettre à développer une 2ème relation teintée de sentiments avec une autre. Ce serait beaucoup plus douloureux car selon moi on peut désirer plusieurs personnes physiquement mais on ne peut aimer qu’une seule personne à la fois. Découvrir que mon partenaire est tombé amoureux d’une autre ou fait espérer à une autre femme qu’une relation est possible c’est au-delà de mes forces.

Avec la multitude de tentations aujourd’hui, les sites pour hommes/femmes en couple, les compagnies qui vous « couvrent » avec de faux alibis, comment voulez-vous que je crois en la fidélité à vie ?

Xoxo
Carrie, From Paris With Love

mardi 30 octobre 2012

Il était une fois...



Je me souviens encore de mon 1er livre. Dernièrement, mon père m’a rappelé que lui et ma mère me le lisaient tellement souvent, qu’ils le connaissaient par cœur. Ils avaient beau vouloir en lire un autre, non je demandais Pousse Poussette. Du coup, j’ai décidé que ce serait le 1er livre de mon neveu également :)
 
J’ai toujours beaucoup lu. Enfant, je me souviens d'avoir lu sous les draps avec ma lampe torche, quand l’heure d’éteindre était déjà passée. Le nombre de fois où l’un de mes parents m’a retrouvé endormi, le bouquin sur mon oreiller est incalculable. 

Je suis contente d’avoir gardé cette habitude et j’ai énormément de gratitude envers mes parents pour m’avoir très tôt habituée à lire. C’est certainement la meilleure échappatoire avec la musique pour faire un break avec la routine du quotidien et oublier les soucis le temps de quelques pages. 

Mon rêve serait d’avoir une pièce juste pour mes livres. Je n’ai pas l’âme d’une collectionneuse, mais avoir une belle bibliothèque avec des livres rares me fait fantasmer. Le cliché cheminée, rocking chair, thé et un bon bouquin, je veux le vivre. 

Il m’est très souvent arrivé de presque rater ma station de train tellement j’étais plongée dans ma lecture. Ça me fait sourire d’ailleurs. Une histoire peut véritablement m’emporter dans une autre dimension et ça fait un bien fou d’être transporté de la sorte.

Une année à Noël, j’ai eu 9 bouquins ! J’étais aux anges et c’était mes seuls cadeaux. Mes amis à l’Université m’ont traité de folle : qui demande des livres pour Noël ou son anniv ? Ben moi !! Fiction, littérature, policier, biographie, tout y passe. 

Avant, je lisais un bouquin par semaine, et puis le boulot, la fatigue ont parfois raison de moi. Mais quoi qu’il arrive, je reviens toujours vers mes livres. Ils m’apaisent lorsque je ne peux trouver le sommeil, ils m’accompagnent lors de longs trajets en train ou en avion, ils m’occupent lorsque je me prélasse un jour de repos. 

A l’ère des tablettes, je suis fidèle à mon livre en papier. J’ai d’ailleurs un tic depuis l’enfance. Lorsque j’ouvre un livre, j’hume ses pages. J’aime l’odeur du papier, du neuf. Un livre c’est comme un trésor et j’ai beaucoup de mal à les prêter. 

D’ailleurs faut que je vous laisse, je suis sur le point de découvrir le meurtrier...

CalamityMe

lundi 29 octobre 2012

Lui, Moi, et le Foot


Le Foot…de nos jours beaucoup de femme se sont mise à apprécier ce sport, longtemps désigné comme masculin. (Carrie et Calamity, pourront très bien en témoigner)

Mais je n’ai pas encore était contaminé par ce « virus », et jusqu’à présent cela ne posait aucun problème …mais ne voila t’il pas que M. Precious  est un grand fana de foot...

Dans le fond ce n'est pas si grave, avoir un homme passionné c'est bien mieux qu'un homme qui ne s'interesse à rien.

Puis regarder avec lui,  un match ou deux, et le voir ainsi supporter ses équipes préférées,  il est vrai que je trouve ça presque attendrissant. 
Par contre là où le bas blesse, c'est quand je commence à me retrouver en compétition avec ce satané sport, alors là je dis  non !
Fini les sorties improvisées pendant la ligue des Champions, la Coupe du Monde, ou tout autres évènements … (d’ailleurs je n’aurais jamais cru qu’il y avait autant de match)
Et plus grave encore : fini les grass’mat calinent du Dimanche matin. Téléfoot oblige !!

Solution 1 : Relativiser.
Il est comme tout le monde, il a besoin de son "moment" à lui, donc ok, je peux bien lui laisser ça ! Puis ainsi ça me laisse du temps pour moi. Entres bouquins, magasines et soins de beauté, ces 90 minutes ne devraient pas être aussi insurmontables

Solution 2 : Réclamer une mi-temps.
Je mérite bien ça pour être aussi compréhensive (le reste du temps), donc après avoir appliquer la solution 1, plusieurs fois de suite...je veux Mon homme. Ok je ne court pas en short derrière un ballon, mais moi aussi je peut être passionnante, donc il serait bien qu'il ne l'oublie pas ... 
Un temps pour chaque chose, et chaque chose a sa place !
Avoir chacun nos passions c'est important voir essentiel, donc je veux bien être conciliante, mais pas au détriment du temps qui me revient de droit. Je suis quand même beaucoup mieux, non ? Non.... ?!!

-  Precious -

vendredi 26 octobre 2012

Pilule and Co, quelle contraception pour moi ?



Rassurez- vous, je ne vais pas vous faire un cours sur les différents moyens de contraception qui existent, quoi que…

Je me rappelle la 1ère fois que j’ai pris la pilule, j’avais 16 ans et avec le stérilet, c’était les seuls contraceptifs dont mon docteur m’avait parlé. N’ayant pas eu d’enfant (heureusement à 16 ans!), c’était mort pour le stérilet (sachez qu'aujourd'hui, enfant ou pas vous pouvez en mettre un!). Me voilà donc avec ma 1ère ordonnance pour la pilule.

C’était le début de mon calvaire. Prise de poids, boutons sur la face, migraine, tension des seins.  Les 3 seuls avantages : règles régulières et moins longues et aussi moins douloureuses. Vous me direz, c’est déjà pas mal comme avantages. Mouais. 

J’ai arrêté à 3 reprises il me semble, pour cause de célibat persistant  et donc non- envie  de continuer ce rituel quotidien.  Et figurez- vous que ces moments sans pilule ne sont pas ceux qui m’ont le plus marqués côté douleurs et autres désagréments. 

Et puis un jour j’en ai eu marre. Traitement pour ci, traitement pour ça, pilule : stop. Je ne voulais plus que mon corps ait à subir toutes ces invasions chimiques, j’allais donc trouver des médecines alternatives et naturelles et laisser mon corps s’adapter à la nature-ou l’inverse ! (non je ne suis pas devenue une hippie new-age). 

Mais l’appel de la contraception a refait surface un jour et me voilà repartie avec ma prescription de pilule mais voilà que…
…Je souffrais d’horribles migraines à chaque menstruation. J’en avais déjà parlé à mes différents médecins et ma gynéco sans que cela les alertent plus que ça.

Un jour quand même mon médecin se dit que ma pilule était peut être à l’origine de mes migraines appelées migraine cataméniale.  Alléluia, j’en ai changé et…mes migraines ne se sont pas arrêtées. Par contre j’ai arrêté et cherché autre chose. 

Vu mon train de vie de l’époque (beaucoup de voyage, décalage horaire) il ne me fallait pas quelque chose d’aussi restrictif que la pilule. J’avais entendu parler de l’implant mais l’idée de ce tube dans mon bras me faisait frémir.

Les remarques sur le sujet étaient bonnes et mauvaises. Mon médecin m’avait prévenu que je devais tenir les 6 premiers mois sinon ça ne servait à rien de le mettre. J’ai essayé, j’ai tenu les 6 mois avec des effets secondaires plutôt sympas (principalement des saignements pendant 4 mois quasi tous les jours),  mais qui furent les seuls effets. 

Une fois les 6 mois passés, que du bonheur. Plus de règles, plus de migraine, aucune prise de poids et je me suis habituée à ce petit truc dans mon bras. Je fais partie des chanceuses. 

Les filles, la pilule c’est bien mais de nos jours, nous avons beaucoup plus de choix de trouver quelque chose qui correspond à notre rythme vie et à notre corps. A vous de le trouver.

CalamityMe

mercredi 24 octobre 2012

Je suis la meilleure copine des mecs...




Je suis pote avec les mecs…je suis leur poto, leur « couille », leur « frère » comme ils disent.
Ça a toujours été et je ne vous explique même pas comment c’est difficile à gérer au final. Je m’explique :
Je mange gras (mcdo, grec, pizza etc)
Je bois beaucoup  (bière, vodka etc)
Je joue aux jeux vidéo
J’adore les bandes dessinées de super héros (marvel and co)
J’adore le foot et le sport en général
J’adore (et je m’y connais) en voiture et moto
Je suis manga addict
Et tout ça en sachant rester féminine, jolie, manucurée, bouche glossée …vous voyez le tableau ?

En gros, je suis le pote parfait pour les mecs mais la meilleure ennemie de leurs copines qui me voit comme un danger potentiel.

Je ne drague pas mes potes (même si eux parfois ont tenté, on ne va pas se mentir l’amitié homme/femme est et sera toujours ambigüe) et on ne couche pas ensemble mais je reste quelqu’un de très présent dans leurs vies et qu’ils ne veulent en aucun cas mettre de côté.

J’ai beau tout essayé pour mettre en confiance leurs copines j’arrive toujours à ce moment fatidique : « Tu choisis maintenant ! C’est soit ta (au choix pute/conasse de « copine »/ garce/ « soit disant » pote etc) soit moi ! jveux plus en entendre parler ».
Et je me retrouve dans des situations complexes de mecs qui finissent par mentir à leur copines pour faire des soirées jeux vidéo ou autre avec moi alors qu’on ne fait rien de mal.

Je ne suis en aucun cas « intrusive » dans leurs relations, c’est-à-dire que je m’éloigne déjà de moi-même, je n’appelle plus, je n’envoie que très peu de textos etc pour qu’elles ne se fassent pas de films.

Mais non à chaque fois c’est la même rengaine et j’en ai MARRE. Voilà…

Donc mesdames si toutefois votre homme a une copine garçon manqué… Apprenez à la connaitre. Nous ne sommes pas toutes des "salopes" loin de là…On partage juste avec eux ce qu’on ne peut (parfois) pas partager avec nos copines.  THINK ABOUT IT !

Xoxo

Carrie, From Paris with Love

mardi 23 octobre 2012

Stalker



Stalker est un mot anglais qui peut se traduire par rôdeur.


Le nom Stalker peut désigner :
  • un individu, à l'affût, qui en cible un autre, dans le but de simplement l'espionner […]
Ouais bon c’est pas glorieux j’avoue. Mais ne soyons pas hypocrites, on le fait tous un peu. A l’ère des réseaux sociaux, le vice est malheureusement poussé à son maximum.
  
Ce trop-plein d’informations nous pousse irrésistiblement dans les bras de la tentation : celle de fliquer tout ce qui se passe ici et là. Ceci dans le but de ne pas passer pour la cruche de service lors de la prochaine soirée gossip ou encore devant la France entière parce que Florian votre mec a eu droit à une petite gâterie dans les toilettes en soirée samedi dernier. Et vu que vous n’avez pas lu entre les lignes des commentaires de son profil Facebook, cette info précieuse vous est passée entre les doigts.

 Alors qu’est-ce que je stalke ?


On sait déjà que Facebook et Twitter foutent très souvent le bordel dans les couples.
Un simple « j’aime » provenant de la petite pétasse qui tourne autour de LUI sur une de ces photos de vacances (ou vous n’étiez pas bien sûr) et c'est le tsunami assuré. On le sait aussi.

 A la moindre suspicion, je suis vite tentée d’aller rétablir  « la vérité ». Ça me donne une sensation de pouvoir, et en très bonne stalkeuse que je suis, j’utilise toujours mes infos le moment venu (enfin quand j'arrive à contenir ma rage).
Exemple :
« Euh Doudou viens voir un truc steplé 
- Quoi ?
- Tu te rappelles ta soirée PES chez Yann le mois dernier ?
- Euuuh ouais vite fait
- Je savais pas que Lauren et son gros cul plein de cellulite aimait jouer à la console… (Ca c’est pour le côté rageuse, faites pas genre que ce style de paroles ne sort jamais de votre bouche)
- ... (Blasé) Pourquoi tu dis ça ?
- Ben regarde c’est pas toi la ? C’est bizarre on dirait l’aquarium de l’appart’ de Cécile derrière, Yann a changé sa déco ? »

 Et bam décomposition faciale…

Le problème du « stalkage » c’est que comme toute drogue, au début on commence doucement en se disant « non mais c’est juste comme ça », on y retourne deux, trois, QUATRE fois et finalement on peut plus s’arrêter. L’engrenage…

Alors la solution c’est quoi d’après vous ?

Françoise