vendredi 30 novembre 2012

Le pouvoir au boulot



 
Je bosse dans une société ou la moyenne d’âge est de 30ans. Donc une majorité de managers sont âgés de 25/26 ans et plus jeunes que moi. Oui pas de beaucoup mais quand même.

Personnellement, je suis d’avis que tout le monde n’a pas un potentiel managérial. Ce n’est pas parce que vous avez été très bon sur votre poste que vous serez forcément très bon en tant que manager.
Un bon manager doit savoir faire preuve de :

  • Perspicacité
  • Créative
  • Sensibilité
  • Capacité d'avoir une vision de l'avenir / anticipation
  • Souplesse / faculté d'adaptation
  • Leadership / autorité naturelle
  • Patience

Aujourd’hui je constate que bon nombre des managers dans ma structure n’ont pas du tout ces compétences et j’ai déjà remarqué la même chose dans mes expériences passées.
Le  « pouvoir »  et les nouvelles responsabilités les rendent moins ouverts, plus hautains. Ils ont ce sentiment qu’ils sont meilleurs que quiconque et vous le font comprendre. Bref ils pètent plus haut que leurs culs…lol
On en arrive même parfois à des managers tyranniques, qui font preuve de harcèlement moral envers leurs équipes.

En tant que spécialiste des ressources humaines (et donc de L’HUMAIN), je me suis souvent posée la question du pourquoi ? Pourquoi changer de personnalité lorsque l’on a de nouvelles responsabilités ?

  • Est-ce dû à un besoin de justifier sa position ?
  • Un besoin de se venger des humiliations connu plus jeune ?
  • Une manière de se protéger ?

Je ne sais pas mais ça a le don de m’agacer au plus haut point. J’ai la chance à mon poste d’être en position de les recadrer ou même de tirer la sonnette d’alarme auprès de la direction mais souvent ce sont des « anciens » et même si leurs compétences à un poste de manager sont limitées, ils sont rarement remis en cause. Ce sera toujours la faute des équipes et non du manager….

Comment une société peut se permettre de conserver des personnes qui ne sont pas en adéquation avec le poste ? Je n’arrive pas à m’y faire et je pense de plus en plus sérieusement à ouvrir mon propre cabinet de conseil en ressources humaines car je ne supporte plus de côtoyer des managers incompétents.

Et vous, vous êtes-vous déjà retrouvé face à un manager incompétent et comment le vivez-vous au quotidien ? 


Carrie

From Paris with Love, Xoxo

mercredi 28 novembre 2012

Je crois que je ne veux pas d’enfants



Oui j’ai bien dit je crois, car oui je n’en suis plus très sûre depuis quelque temps. 

J’ai toujours voulu des enfants. Trois même. Ayant grandi loin de mon demi- frère et de ma demi- sœur, j’avais ce besoin de faire une famille où les enfants vivraient ensemble et pas séparés. 

Et puis j’ai grandi, vieilli, mûri. Je suis rentrée dans la vie active, j’ai eu des copains, des amants, des amours et au fur et à mesure que j’avançais dans ma vie, l’envie de faire un enfant s’est peu à peu éclipsée.

C’est d’ailleurs devenu un sujet à la mode depuis une ou deux années quoi que toujours aussi tabou. Les magazines féminins consacrent tous les ans un sujet sur ces trentenaires qui ne veulent pas d’enfants et qui le vivent très bien (en tout cas mieux que leur entourage). 

Pour ma part, je ne saurais expliquer le pourquoi du comment de ce revirement de situation. Beaucoup de femmes me disent que je changerai d’avis le jour où je rencontrerai « l’homme ». Ce qui me fait beaucoup sourire. 

J’aime les enfants, je suis complétement gaga devant un bébé, mais je n’arrive pas à me projeter dans le futur en tant que mère. Est-ce par égoïsme ? Est-ce par peur ? Est-ce par refus de conventionalité ? Aucune idée, peut-être un peu de tout ça…Que l’on s’entende je n’ai pas peur d’avoir un enfant, juste peur de quitter  ma vie de femme libre. 

Je sais que ma situation actuelle ne me permet pas d’assumer un enfant (no père, no travail, no argent) donc cela joue très certainement  sur ma décision car j’ai aussi une idée très précise de comment je veux avoir mes enfants (couple solide, travail fixe et bien rémunéré) et comment les élever. 

Seul l’avenir me dira si cela était passager ou permanent. Ne me dîtes pas de me dépêcher car je vieillis et que mon l’horloge biologique va me rappeler à l’ordre car je n’y crois pas ! 

En tout cas, ce qui m’importe vraiment, c’est d’être heureuse, avec ou sans enfant et sans regret.

CalamityMe

mardi 27 novembre 2012

Faire confiance. Oui, mais à qui ?


La confiance, vous savez cette chose difficile à obtenir mais facile à perdre ?

Cette chose indispensable pour construire et renforcer une relation quel quelle soit.
Eh ben j’ai une carence de confiance …. Aux autres c’est certains, mais le plus grave c’est le manque de confiance que j’ai vis-à-vis de moi.
Ce manque, me laisse parfois chancelante, me pensant incapable de surmonter certaines épreuves de la vie, et pourtant vu l'évolution des individus peuplant ce Monde, je me considère comme quelqu'un de confiance. Oui comme tous le monde j'ai déjà trahi, trompé, menti...mais j'en ai jamais tiré un réel plaisir. Ma conscience m'a souvent empéché de pouvoir en jouir pleinement.
Mais aujourd'hui j'aimerais surtout parler de la confiance que nous devrions avoir les uns envers les autres. C'est surtout celle ci qui me rend, si pessimiste sur l’avenir de l’Homme

Où sont passé ces (anciennes) qualités humaines qui selon moi se perdent ? : La solidarité, la compassion, l’ouverture d’esprit, la générosité, ….ces qualificatifs qui normalement nous lient les uns aux autres.

Chaque jour, la vie me le confirme les Hommes/Femmes régressent…
J’en fus témoin, notamment ce matin, lorsqu’une jeune femme (19/20 ans) fit un malaise dans le bus que j’emprunte quotidiennement, et que la seule réaction du public fut de tendre le cou, pour ne manquer aucune miette du spectacle inhabituel. Cependant très peu de personnes se levèrent de leur siège si précieux, pour lui porter secours. A mon grand étonnement la seule personne qui réagit, a part moi, fut une autre jeune femme (22/24 ans) elle eut le réflexe de prendre son portable et de composer le numéro des secours, tandis que j’essayais de garder la demoiselle éveillée … Et que les autres usagers nous enjambaient afin de ne pas rater leur station, et de ne pas être ralenti dans leurs trajets …

Face à de tels évènements comment faire confiance aux autres ?
L’individualisme est-il le nouveau principe à la mode ?
C’est dans ce Monde qu’on doit trouver l’Amour ? et l’Amoureux épargné par ces défauts déjà trop présent dans notre société ?

Un article un peu pessimiste, que j’ai envie de conclure en nous souhaitant : Bonne Chance !
Et surtout ne laissez pas les personnes que vous estimez bonnes, et qui réussisent à vous faire sourire s’échapper.

With Love & Hope
Precious

lundi 26 novembre 2012

Tout recommencer... Ailleurs?






Qui n’a jamais songé à tout remettre en question ? Dire Bye bye aux transports, à la foule, le stress, la vie chère, bref à toute la frénésie de la vie parisienne.

Quand vos collègues vous insupportent au point de rêver d’eux la nuit (cauchemarder serait le mot juste en fait) , que la cantine est à vomir, que votre boss est de plus en plus chiant et oppressant, qu’il faut faire la queue pour tout et n’importe quoi, se taper des travaux à tout bout de champ et des transports plus qu’incertains ;  une envie de tout plaquer se pointe à l’improviste, vous faisant douter sur vos capacités à long-terme à supporter ce quotidien.

Ce besoin de respirer est de plus en plus fort…  Alors on se met à réfléchir à toutes les éventualités d’une nouvelle vie qu’on idéalise : aller au travail en voiture tous les jours sans aucun bouchon, aller acheter sa baguette sans faire une queue de 3 km, bénéficier d’un calme absolu, avoir un appart ou une maison avec une superficie très convenable pour  un loyer très convenable, faire des balades en forêt avec le chien, bref la liste est longue.

Mais quid des petits plaisirs parisiens ? Ils manqueront, c’est certain. Afterworks, restaus et bars branchés, musées, événements divers, rencontres,  cette vie sociale hyperactive bien que  passionnante reste épuisante, et pour certains lassante à la longue. En prenant de l’âge, on aspire souvent à autre chose mais cela implique une grosse dose de réflexion quant à notre capacité d’adaptation. Vais-je me plaire dans ce nouveau style de vie ? Comment vais-je me faire de nouvelles rencontres ? Vais-je être épanouie professionnellement ? Un lot de questions qui n’ont pas de réponses concrètes.

Il y aussi l’option d’aller vivre à l’étranger, encore plus radicale : découvrir un nouveau pays, une nouvelle culture, de nouveaux codes…

Dans tous les cas, cela reste un choix cornélien.

J’avoue que je me pose parfois cette question. J’ai la chance de travailler dans un grand groupe qui possède des filiales un peu partout dans le monde, ce qui me laisse une petite porte ouverte, si un jour l’offre idéale se présente.

Alors certes l’herbe n’est  pas plus verte ailleurs,  mais si le besoin de renouveau est plus fort que la raison, pourquoi ne pas se laisser tenter par une nouvelle aventure ?

Françoise

vendredi 23 novembre 2012

Accroc aux produits de beauté : Help !



Je plains le mec avec qui je vivrais un jour. En fait, je crois même qu’il nous faudra avoir 2 salles de bain car quand je dis que je suis accroc, c’est du lourd.

Gel douche, baume à lèvre, shampooing, lait pour le corps, parfum, maquillage, tout y passe. Chaque partie de mon corps à ses produits. Saviez- vous qu’il existe des gommages spécialement pour les lèvres ou les mains? Et bien maintenant vous savez. 

Le pire, c’est que je ne suis pas spécialement au courant des dernières nouveautés et je ne connais pas 36 milles marques mais j’ai mes marques phares et j’y retourne les yeux fermés.

Par contre mon problème, c’est que je ne me contente pas d’un seul  déo ou d’un seul shampooing, ben non, sinon ça ne serait pas drôle. 

J’ai une obsession avec les odeurs, j’ai un sens olfactif développé et surtout j’aime varier mes plaisirs, donc j’ai en général 2 déos, 3/4 gels douche et idem pour les laits corporels. Ben oui, il faut aussi que mes laits soient coordonnés avec mes parfums si jamais je n’ai pas pris le lait de mon parfum préféré. Accroc j’vous dis (ou folle au choix). 

Pour le maquillage c’est pareil. Même si j’ai fait le ménage dernièrement, j’ai des vernis de toutes les couleurs, pleins d’ombres à paupière et de crayons pour les yeux. Pour les lèvres je suis sage, j’abuse juste du baume (un pour le sac, un sur le bureau et un qui traine quelque part !).

C’est un sacré budget je l’admets mais c’est mon vrai petit plaisir. J’aime prendre soin de moi et sentir bon et me sentir belle. Et puis c’est coloré sur le rebord de ma baignoire et sur mes étagères ! 

Et d’abord, j’suis une meuf donc j’ai le droit, na ! (oui oui, je m’octroie des droits imaginaires).

CalamityMe

jeudi 22 novembre 2012

Les moments de déprime de Precious

Ces moments où je pourrais rester des heures et des jours sans contacts extérieurs, sans téléphone, sans internet, sans mettre ne serais-ce qu’un pied dehors …

Ces jours, ou la positive attitude ne m’habite plus, et où il ne reste que sombre désespoir et tristes pensées.
Ces matins, ou la vie me semble plus dure et longue qu’hier, mais moins que demain…

Dans ces moments là, même les plus douces (et raisonnables) paroles ne font plus effet, face à cette humeur noire et intense.

Cette solitude, accepte comme unique compagnie les flots de larmes non retenus, afin d’exprimer mes malheurs dans un silence douloureux.

Puis un jour, la dernière larme coule et le positivisme reprend doucement ses droits…jusqu’à la prochaine fois…

Prochaine fois, que j’oublierais que la vie est aussi dure que douce.
Prochaine fois, que l’impatience d’une vie meilleure, me fera perdre foi.
Prochaine fois, que mon option « relativiser » tombera en panne.

Faudrait peut être que je songe à la réparer cette option d’ailleurs.
Une thérapie ?! Hum, mais pourquoi pas après tout ?! Si c’est bon pour le moral je prends !

Precious …qui va bien pour le moment

mercredi 21 novembre 2012

Post coup de gueule : le RER A

Cher RER A, si tu me lis sache que : 
  •   Les ¾ de mes retards quotidiens sont de ton fait 
  •  Par conséquent, je commence ma journée aigrie et je la termine plus tard que prévue (ben ouais faut bien compenser le retard)
  • Il est inadmissible de payer 60€ par mois pour un service aussi médiocre avec des suppressions à répétition, des changements de quais surprise, de fausses infos (je crois que c’est le pire), des panneaux d’affichage en panne, des annonces à peine audibles, des trains moches et sales, des INCIDENTS TECHNIQUES tous les jours…
  • Et de l’attente, de l’attente et encore et toujours de l’attente !
Ce qui a pour conséquence, en plus des retards bien sûr :
  • Des usagers aux nerfs plus qu’à vif, parfois prêts à en venir aux mains
  •   Des anecdotes drôles, ou pas drôles du tout
  • Et surtout une grosse dose de stress par rapport à ton employeur (et ça c'est grave!)
Je ne parlerais pas des incidents voyageurs : malaises, suicides et autres. Car tout le monde peut en être victime ou témoin, j’en ai fait les frais dernièrement.

Les transports en commun sont un service public que l'on paie suffisamment cher pour finalement beaucoup de désagréments et très peu (voire jamais) de dédommagements. Alors bien sûr, je ne demande pas à ce qu'on voyage dans du matériel hyper haut-de-gamme mais il faut un minimum de respect envers les usagers qui, en plus d'avoir un quotidien parisien déjà assez stressant, n'ont pas du tout envie de subir ces problèmes TOUS LES JOURS.
Dans ce cas, on devrait décompter le temps qu’on passe dans les transports du temps de travail, vous en pensez quoi ? Parce que vu comment ça nous fatigue pour rien, ça serait logique non ?

Enfin pour toutes celles et ceux qui galèrent comme moi je vous invite à vous rendre ici :

www.galerera.fr  Un petit forum sympa entre usagers avec de VRAIES infos trafic

Bien à vous

Françoise
 

lundi 19 novembre 2012

Le coup de foudre (appel à témoignage)




Vous savez ce sentiment qui vous laisse bouche bée, les jambes chancelantes, le cœur qui bat à 100 à l’heure, les fameux « papillons dans le ventre » ?

Avez-vous déjà ressenti ce chamboulement dans votre cœur, dans votre esprit ? Est-ce que vous y croyez ?

Pour ma part je parle plutôt de coup de cœur...

Certaines personnes « dégagent » un quelque chose (les scientifiques diraient certainement phéromones lol) qui vous touche…qui touche vos sens et vous perturbe au plus profond de votre être.
Les résultats peuvent être assez effrayants quand on y pense…on ne peut plus se passer de la personne, on veut passer tout notre temps avec. On est parfois prêts à tout quitter pour le suivre au bout du monde. 

J’aime ce sentiment…j’aime ces papillons dans le ventre quand la personne est proche de vous, vous prend la main ou pose négligemment sa main sur votre bras ou votre jambe.
J’aime sentir mon cœur battre la chamade, mon esprit être chamboulé et mes jambes en cotons.
Je suis une amoureuse de l’amour donc forcément j’y crois. 

La question après est : comment le faire durer ? Est-ce possible de faire naitre une vraie relation d’un coup de foudre ?
Le coup de foudre est un peu un synonyme de la passion, cette  émotion intense caractérisée par un enthousiasme ou un désir…et souvent également destructrice.

Parfois je me dis que c’est notre esprit qui nous joue des tours. Il fait un amalgame de différents ressentis/émotions et les projette sur une personne à un instant T qui ne dure jamais très longtemps.

J’aimerais des témoignages de personne qui se sont rencontrés sur un coup de foudre et qui vivent toujours aujourd’hui une belle histoire d’amour. Alors n’hésitez pas, racontez moi tout !

Carrie,

From Paris With Love, Xoxo